Ça, ça s’appelle une échographie. Un truc indéchiffrable pour les ignorants de mon espèce, censé représenter un joli petit mollet dodu au repos forcé depuis 20 jours. « Bon de reprise !, m’a lancé, amusé, le spécialiste de la clinique. Vous êtes content, hein ? »
Voilà. C’est fait. Pan dans les dents. Depuis la fin d’année 2014, j’ai définitivement basculé dans la cour des “vieux”. Je me disais bien aussi, avec tous ces cheveux grisonnants… Et si, finalement, vétéran c’était encore mieux qu’avant ?
Et si pour une fois à Noël, l’on parlait et pensait autre chose que course à pied ? Bon, c’est vrai, vous connaissez la chanson : chassez le naturel, il revient au grand galop…
Joyeuses fêtes à tous !
Courir ou manger… Mais pourquoi faudrait-il choisir ? Au diable les tailles “cotons tiges” de la mode vantées par les magazines féminins. Nul besoin d’être anorexique pour être bien dans ses baskets ou performer, dès lors que l’on ne vise pas l’élite mondiale.
10 ans déjà. Le 7 novembre 2004, j’accomplissais un rêve de gamin en prenant le départ du New York City Marathon. Une ambiance indescriptible, plus forte que tout ce qu’on m’avait décrit. De loin mon plus grand moment de course à pied après quinze années de pratique. Plongée en images.
